Mon dernier matin, Christophe Quilici

17,00

Juin  2042. Pierre va être exécuté. Il se remémore les deux dernières années. Un parti extrémiste est au pouvoir. Les premiers visés sont les étrangers. Si quelques-uns s’indignent, la majorité s’en accommode. Pierre ne proteste pas non plus. Le pouvoir tisse sa toile. Il veut mettre la population au pas. Pour la contrôler, il décide de faire implanter à chacun, une puce, contenant toutes les informations le concernant. Une manifestation de protestation est organisée. Pierre, sorti de sa léthargie, décide de s’y rendre. Il y trouve Héloïse. La manifestation dégénère. Dans la bousculade, elle trébuche mais Pierre la sauve. 

Héloïse fait partie d’un réseau de résistance. Pierre l’intègre. Il décide d’infiltrer l’adversaire. Dans ce double jeu, il fait la connaissance de Joubert, chef de la police politique. Un lien ambigu se tisse entre eux. La résistance prépare un soulèvement. Le réseau de Héloïse, est démantelé, ses membres arrêtés, à l’exception de Pierre.

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Christophe Quilici est né à Nantes en 1961, ville où il réside. Après Une vie à s’attendre, il publie ici un second roman.

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14,8 x 21 cm, 186 pages

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