Interviews Flash – Par les Éditions de l’Onde
Alain Baillet, bonjour. Votre livre Dix ans ou presque sort aux Éditions de l’Onde.
Pouvez-vous vous présenter ?
J’ai soixante-sept ans mais encore vert, un peu, Je suis actuellement célibataire, après avoir vécu dix ans avec une femme aujourd’hui morte des suites d’une longue maladie. Actuellement retraité de l’Éducation Nationale, j’ai vécu pleinement mon métier de Professeur Agrégé de Sciences Naturelles durant 43 années. De plaisir professionnel. J’ai deux grands enfants et trois petits-enfants..
Votre livre en quelques mots ?
Un couple va connaitre un bonheur total avec beaucoup d’amour et de moments de fusion intime. Malheureusement le seigneur Cancer va mettre un coup d’arrêt à cette romance en détruisant peu à peu ce qui faisait l’essence même de ce bonheur simple et puissant, pourtant. L’amour cependant va vaincre et mes deux héros bien que, à la fin séparés par la mort de l’une vont jusqu’au bout être conscients de la chance qu’ils ont eu d’être ensemble et heureux.
Qu’est-ce qui vous a donné envie d’écrire ?
J’ai exercé une profession où l’écriture reste au centre de l’apprentissage et ma matière enseignée est la plus littéraire des matières scientifiques. Le séisme personnel déclenché par la disparition de ma douce a été le révélateur et écrire son histoire a été pour moi une évidence.
Quand, où et comment écrivez-vous ?
J’écris à l’impulsion et l’envie dans mon bureau, la plupart du temps au calme et au frais, sans perturbation mentale extérieure.
Pourquoi avoir choisi les Éditions de l’Onde ?
J’ai présenté mon premier roman à plusieurs maisons d’éditions pratiquant l’édition à compte d’auteur, plusieurs m‘ont répondu de manière positive, j’ai choisi les éditions de l’onde car le commentaire du comité de lecture m’a paru riche, sensible et conforme à ce que j’avais voulu faire ressortir dans ce livre. J’ai ensuite été séduit par le sérieux et l’humanité des contacts à qui j’ai eu à faire.
Quels sont vos livres ou auteurs favoris ?
Je suis éclectique. Actuellement, je relis le dieu des corps de Jules Romain et l’éducation sentimentale, de Flaubert. Le regretté Jean Teulé a été sur ma table de chevet, longtemps, tout comme Houellebecq, avant.
Merci Alain